Nos dirigeants sont des nazis

Le 19 mars dernier, le Premier ministre Jean Castex a décidé de limiter les déplacements dans les 19 départements où la situation sanitaire est la plus critique. Un Français de 83 ans, habitant l’Île-de-France - un des départements concernés - et récemment vacciné, dénonce une atteinte à sa liberté d’aller et venir. Il demande au juge des référés de suspendre ces limitations pour toute personne ayant bénéficié de la vaccination contre la COVID-19. Il considère que les mesures de restriction de déplacements, de couvre-feu et de confinement ne sont ni nécessaires ni adaptées pour les personnes vaccinées. Une demande, a priori, tout à fait légitime…
Or le juge des référés, par une ordonnance du 1er avril 2021 du Conseil d’Etat, a rejeté sa demande, considérant que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion !

C’est bien sûr le ministre de la Santé, Olivier Véran, qui a préparé le dossier pour le Conseil d’État. Il donne 4 explications. Il parle d’abord de « l’efficacité partielle » des vaccins, notamment du fait de l’apparition de nouveaux variants. Encore plus grave, il explique que les vaccinés sont les plus exposés à la virulence du virus, en cas d’échec ! Et surtout le vaccin ne permet pas de dire que les vaccinés ne peuvent pas transmettre le virus. Donc, ils peuvent contaminer les autres, et être contaminés par les autres. Bref, tout le contraire de ce que les autorités disent aux Français pour qu’ils se fassent vacciner au plus vite. Autrement dit, on injecte massivement des vaccins sans qu’ils aient subi tous les tests nécessaires pour prouver qu’ils sont efficaces et sans danger.

En clair, nos dirigeants acceptent le principe que les vaccinés servent de cobayes !

Prenons du recul et remontons dans l’histoire. Les nazis, à l’époque du Troisième Reich, utilisaient les prisonniers de guerre comme cobayes pour leur faire subir toutes sortes d’expérimentations scientifiques. A l’issue de la guerre, ils furent jugés par le Tribunal de Nuremberg, qui énonça « les crimes soumis à la juridiction du Tribunal et entraînant une responsabilité individuelle :  (a) ‘’Les Crimes contre la Paix’’ : (…) ; (b) '’Les Crimes de Guerre ‘': (…) ; (c) ‘’Les Crimes contre l'Humanité’’ : c'est-à-dire l'assassinat, l'extermination, la réduction en esclavage, la déportation, et tout autre acte inhumain commis contre toutes populations civiles, avant ou pendant la guerre, ou bien les persécutions pour des motifs politiques, raciaux ou religieux, lorsque ces actes ou persécutions, qu'ils aient constitué ou non une violation du droit interne du pays où ils ont été perpétrés, ont été commis à la suite de tout crime rentrant dans la compétence du Tribunal, ou en liaison avec ce crime ».

Suit le « Code de Nuremberg » publié en 1947 qui « identifie le consentement éclairé comme préalable absolu à la conduite de recherche mettant en jeu des sujets humains. Article 1 : L'obligation incombe à la personne qui prend l'initiative et la direction de ces expériences. Article 3 : Les fondements de l'expérience doivent résider dans les résultats d'expériences antérieures faites sur des animaux, et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions de l'étude, de façon à justifier par les résultats attendus l'exécution de l'expérience ».
Ainsi nos dirigeants, en nous utilisant comme cobayes pour tester leurs vaccins, sont dans la droite ligne de ce que condamnait le Tribunal de Nuremberg. Ils se comportent comme les nazis du temps de Hitler. Exigeons au contraire la mise en œuvre prioritaire d’une politique de soins en réservant les vaccins à ceux qui le demandent.

Non à l’état d’urgence sanitaire
Arrêt immédiat de tout confinement et des restrictions
Reprise immédiate de toutes les activités



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