Les écologistes, cinquième colonne du mondialisme

Les écologistes veulent tuer la filière nucléaire en France. Voyons dans un premier temps ce qu’est la production d’électricité nucléaire en France.
Premier grief diffusé par les écologistes : le nucléaire produirait beaucoup de gaz à effet de serre. C’est totalement faux puisque les centrales nucléaires émettent seulement de la vapeur d’eau. Deuxième grief : la production de déchets extrêmement toxiques. En fait, seulement certains déchets sont particulièrement dangereux. Cela représente 3,1% du total des déchets. Non seulement des moyens de stockage très rigoureux sont mis en place mais il existe des techniques permettant de les recycler. Ce fut le projet Superphénix, abandonné pour des raisons politiques et non techniques. Tout au contraire, « dans le domaine de l’électricité dite renouvelable, les panneaux photovoltaïques ou les éoliennes utilisent de nombreuses matières non recyclables, comme les fibres de carbone des pales qui doivent être enterrées lors de leur fin de vie » (Fabien Bouglé, « Nucléaire, les vérités cachées », Ed. du Rocher, 2022).
Troisième grief : « voyez les accidents de Tchernobyl et de Fukushima, qui démontrent le grand danger pour les populations ». Une propagande malhonnête parle de 200.000 morts suite à l’accident de Tchernobyl. En réalité, un rapport de 600 pages établi en 2005 prouve que seules une cinquantaine de personnes sont mortes sur le coup et « 2200, selon les estimations, pourraient décéder des suites d’une radioexposition » (même source). Des statistiques montrent que le nombre de morts par TWh produit est 500 fois plus faible que dans le cas des centrales thermiques. Quatrième grief : le prix de vente de l’électricité d’origine nucléaire. Le prix de revient est de 33 euros/MW-heure, tandis que celui du parc éolien terrestre est de 91 euros/MW-heure et celui des six premières centrales éoliennes en mer au large des côtes françaises est de 180 euros/MW-heure.
Nous venons de voir le prix de l’éolien, mais il faut aussi voir les nuisances, ce qu’on appelle « le syndrome éolien ». Il est « identifié dans le monde entier et associé à des cancers et des décès. Les extractions de terres rares nécessaires pour la fabrication des nacelles d’éoliennes (il en faut 200 kg pour une éolienne sur terre et 1 tonne par éolienne en mer) conduisent à des conséquences sanitaires épouvantables à Baotou en Chine : on recense des leucémies d’enfants et un développement des cancers dans les zones d’extraction. Elles sont en effet soumises à une forte radioactivité, jusqu’à parfois deux fois plus élevée que sur le site de Tchernobyl. » (même source)
Alors comment se fait-il que l’on construise tant d’éoliennes et que l’on dénigre le nucléaire ? La raison est politique et financière. Il y a un lobby écologiste – non seulement au niveau des partis politiques mais aussi des ONG et même, depuis deux décennies, une infiltration de militants antinucléaires dans les instances de pouvoir, par exemple l’ADEME et même au niveau du gouvernement. Tous ces gens s’appuient sur la peur pour se rendre crédibles. Ils utilisent la même méthode que le pouvoir : le gouvernement par la peur. Ils méritent tous de passer en conseil de guerre pour haute trahison. Et n’oublions pas tous les industriels de l’éolien auxquels on apporte un marché captif auquel ils n’ont légitimement pas droit.

Les conséquences sont désastreuses, non seulement au niveau du portefeuille de chaque Français mais aussi de l’influence négative sur le développement économique. Au niveau financier, toute l’installation d’éoliennes ne peut se faire que grâce à des subventions massives : environ 90 Md€ passés et à venir. C’est le quart du budget de l’Etat de 2022 voisin de 400 Md€ !
Quant à l’aspect économique, en 2011, la filière nucléaire française représentait 410.000 emplois directs, indirects et induits. Alors que la filière des éoliennes n’a créé jusqu’ici que 20.000 emplois et n’en créra guère plus car la production d’éoliennes est faite pour l’essentiel à l’étranger (Allemagne et Danemark). Mais le freinage du nucléaire a, de plus, des conséquences gravissimes : c’est le blocage de tout développement industriel du fait de la hausse constante (depuis l’an 2000) du prix de l’électricité.
En résumé, comme disait Roosevelt, « en politique, le hasard n’existe pas ». Ce sont bien des prédateurs qui font tout pour couler la France, lesquels sont grassement financés par l’oligarchie mondialiste. La seule ONG Greenpeace « est devenue en 50 ans une entreprise multinationale présente dans plus de 55 pays avec un chiffre d’affaires international de 360 millions d’euros en 2018 » (même source).
Seul un roi très chrétien peut agir pendant tout son règne dans le sens du bien commun car il ne se laisse pas corrompre du fait qu’il est moralement engagé à laisser à sa descendance un pays au moins aussi riche que l’était la France lorsqu’il a pris les rênes du pouvoir. 

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