Le scandale de la transition écologique

Dans sa tribune libre intitulée « La transition écologique sera-t-elle supportable sur le plan économique ? » (Figaro du 14/02/2023), Anne de Guigné nous explique qu’il « manque une vision macro-économique d’ensemble, notamment en ce qui concerne l’avenir des salariés dont les entreprises sont destinées à péricliter ». En effet, c’est un véritable ouragan économique qui s’annonce, avec un budget de 50 Md€ par an, alors que le déficit budgétaire était de 145 Md€ en 2021.

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La conséquence, c’est la désindustrialisation de la France : pour ne prendre que l’exemple de l’automobile, on va remplacer des équipements industriels adaptés à la production de voitures à énergie thermique par des équipements beaucoup moins sophistiqués pour fabriquer des voitures électriques. On estime que 40% des emplois liés à l’automobile vont disparaître.

C’est une augmentation du chômage et une baisse généralisée du pouvoir d’achat

On nous fait croire que cette transition écologique est indispensable ? C’est complètement faux. Première contre-vérité : Pascal Renardet démontre (Lectures françaises, N°778 de février 2022) que le changement climatique s’explique par la seule augmentation de l’activité solaire et non, comme le martèlent tous les jours les médias, à l’activité humaine. Deuxième contre-vérité : Le CO2 n’est pas un gaz à effet de serre. Tout au contraire, l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère est très bonne pour la planète. Christian Gérondeau a consacré un livre entier pour le démontrer (« Le CO2 est bon pour la planète).
Troisième contre-vérité : on nous avance la menace d’une augmentation de la température de plusieurs degrés sur un siècle, ce qui, nous dit-on, serait catastrophique pour la planète et ses habitants. En réalité, si on fait le calcul sur la base de données officielles, le réchauffement de la planète ne dépasserait pas 0,5°C en l’an 2100 !
Enfin, il est bon de noter que les 9/10 de la population mondiale ne croient pas à l’influence de l’homme sur la température de l’atmosphère. Ainsi, « après la grande réunion, à Paris, de la COP21, le monde entier avait bien compris que la Chine, l’Inde et la Russie considéraient cette réunion comme une grande mascarade » (Lectures Françaises N°789 de janvier 2023). Rappelons que le président Donald Trump, quand il était en fonction, a dit la même chose.

La transition écologique ne s’appuie sur aucun argument scientifique

Mais combien tout cela va-t-il coûter ? « L’enjeu économique, pour la France, de cette transition écologique est au niveau d’une perte de 5% du PIB pendant plusieurs décennies ». Alors que, depuis au moins dix ans, la croissance annuelle a du mal à atteindre 2% !

C’est donc une récession assurée, pour des décennies, qui nous attend !

Pourquoi, alors, une telle insistance à nous faire prendre des vessies pour des lanternes ? Il faut remonter à 1963. Quinze éminents chercheurs d’universités américaines se réunissent en secret dans un endroit appelé « La montagne de Fer ». L’un d’entre eux (pseudonyme John Doe) publia en 1967 le résultat de ces études dans un livre intitulé « The report from Iron Mountain ».
L’objectif de cette réunion secrète était de définir un fléau imaginaire qui permettrait d’asservir les cerveaux. C’est la logique du gouvernement par la peur. Cinq scénarios ont été imaginés, d’ordre économique, politique, sociologique, écologique et enfin culturel et scientifique. C’est le scénario écologique qui a été retenu, s’appuyant sur la pollution de l’environnement. Avec une propagande adaptée, l’objectif est de provoquer un effet psychologique aussi effroyable que celui de la fin du monde après la guerre nucléaire. C’est ce qu’on appelle aujourd’hui la défense du climat

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