Hold-up sur les graines

Afin de préparer l’instauration d’un gouvernement mondial, l’oligarchie mondialiste a mis en place trois pouvoirs : un pouvoir économique constitué du cartel des grandes banques internationales et des grandes multinationales, un pouvoir politique représenté par la triade Royaume Uni – Etats-Unis – Israël, qui fait le gendarme dans le monde, et un pouvoir idéologique, dont les deux grandes branches sont la franc-maçonnerie d’une part et les sociétés de pensée, telles le CFR, Bilderberg, la Trilatérale et le Siècle pour la France, d’autre part.
En ce qui concerne le pouvoir économique, nous en avons un exemple dans le domaine de l’agriculture. On pourrait penser que chaque paysan qui cultive des céréales replante ses propres semences. Ce n’est plus vrai ! C’était la réalité il y a bien longtemps, mais cela ne se passe plus ainsi aujourd’hui…
A la période des semences, le paysan a l’obligation d’acheter les graines dont il a besoin pour sa nouvelle saison à des multinationales qui en ont le monopole ! Les plus importantes sont : Bayer-Monsanto (Allemagne), Syngenta (Suisse), Dupont (USA) et Limagrain (France). Il est interdit par la loi de commercialiser des semences qui « ne sont pas dans le catalogue ». Et le GNIS (Groupement National Interprofessionnel des Semences) est l’organisme qui fait la police.
C’est un véritable monopole. Ainsi ces multinationales ont créé des variétés de semences qui ne se reproduisent pas. Par conséquent, chaque année, le paysan doit acheter de nouvelles semences.
Certes, il existe quelques alternatives, notamment l’association Kokopelli et « Les semences paysannes » mais elles ont très peu de moyens financiers et on leur fait toutes sortes de tracasseries administratives pour les empêcher de se développer.

Contrairement au discours officiel, la liberté n’existe pas

Cela va-t-il dans le sens du bien commun ? Assurément non, puisque le principe de subsidiarité est violé : le paysan n’a plus aucune autonomie. De plus, le consommateur est obligé de s’approvisionner en aliments trafiqués en laboratoire, sans avoir la possibilité d’échapper à cette logique.
De plus, ce système représente un grand danger car il tend à supprimer la variété. En conséquence de quoi, si une épidémie se déclare, c’est la récolte de tout un pays qui est menacée. Cela peut déboucher sur une famine massive, d’autant plus difficile à surmonter que tous les pays européens sont au même régime.
La logique est évidemment financière. Mais il y a pire : l’oligarchie mondialiste est malthusienne, ce qui signifie que, dans son esprit, les pauvres n’ont qu’à mourir. Autrement dit, peu importe si une immense famine entraîne la mort de 200 ou 300 millions de personnes. C’est la politique du chaos !
On revient toujours à ce que nous enseigne le Christ : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent » (Luc 16, 13).
La seule alternative, c’est une Europe chrétienne avec un roi, lieutenant de Dieu sur terre, à la tête de chaque Etat. Une Europe des nations souveraines, en alliance avec la Russie, bien évidemment.

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