Voilà où nous a conduits la mondialisation !

Il y a encore quelques semaines, avant le début de la pandémie, on passait pour rétrograde si on osait remettre en question la mondialisation. Et voilà qu’on s’aperçoit que la libre circulation des marchandises conduit aussi à la libre circulation des virus !
Et pourtant, soyons certains que, dès que la menace du coronavirus aura disparu, on nous expliquera d’une part que cela n’arrive pas tous les jours et que, d’autre part, la crise qui vient d’être vécue nous a enrichis d’une expérience qui nous permet d’être assurés que, si une nouvelle menace de virus devait se produire, les pouvoirs publics sauront y faire face.
En attendant, il y a eu des milliers de morts et toutes les économies se sont effondrées. En outre, la dette publique – et pas seulement celle de la France – s’est encore aggravée. Il est logique de considérer qu’on ne peut pas continuer ainsi et qu’il faut remettre en question cette dangereuse mondialisation.
Comment en sommes-nous arrivés là ? Du point de vue économique, la réponse est simple : le cartel des grandes banques internationales ainsi que les grandes multinationales ont tout intérêt à ce que les frontières soient ouvertes et que puisse se développer un commerce mondial san aucun frein. S’y ajoute un point de vue politique : l’oligarchie mondialiste, derrière laquelle se cache une secte diabolique, veut à tout prix instaurer un gouvernement mondial.
Face à cela, il y a la doctrine sociale de l’Eglise, qui préconise qu’en toutes choses on respecte le principe de subsidiarité. Cela signifie que les Etats doivent être souverains et que l’Europe à construire doit nécessairement être une « Europe des Nations ». De plus, dans la logique du principe de subsidiarité, il ne devrait exister aucune entité économique ayant un pouvoir financier supérieur à celui des Etats.

Arrêtons la mondialisation

Abrogeons le Traité de Lisbonne

Pour une Europe des Nations

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