Macron dans l'impasse

Depuis 2022, début du second quinquennat d’Emmanuel Macron, il y a déjà eu 5 premiers ministres. Cinq en trois ans, c’est pire que du temps de la quatrième république, où l’on changeait de gouvernement en moyenne une fois par an.
Le Parlement est divisé en trois courants qui sont sur des bases politiques incompatibles les unes avec les autres. D’aucuns regrettent « le bon vieux temps » où régnait la division droite-gauche et rêvent d’y revenir. Mais on ne fait pas tourner la roue de l’histoire à l’envers.

Ce qui est le plus probable est qu’on s’installe progressivement dans un grand chaos, une grande anarchie, dont quelques malins, Mélenchon par exemple, sauront peut-être profiter pour faire un coup d’Etat débouchant sur une dictature sanglante. C’est malheureusement une hypothèse à considérer.
Pourquoi en est-on arrivé là ? L’explication est simple. Il suffit de sortir du politiquement correct pour commencer à comprendre la situation. Le mondialisme est une réalité. Ce n’est pas seulement une idéologie – s’appuyant sur deux objectifs : établir un gouvernement mondial et détruire le christianisme – mais aussi des hommes organisés dans différentes sociétés de pensée, telles le club Bilderberg le CFR, la Trilatérale, la franc-maçonnerie, le forum de Davos notamment, qui ont mis en place trois pouvoirs : un pouvoir économique constitué du cartel des grandes banques internationales et des grandes multinationales, un pouvoir politique, dont le fer de lance est la triade Royaume uni – Etats-Unis – Israël, et un pouvoir idéologique, dont un élément important est la franc-maçonnerie.
Nous touchons là un des grands points faibles des partis politiques français – mais c’est sans doute voulu – à savoir que les débats politiques sont essentiellement hexagonaux, comme si le reste du monde n’existait pas.
En réalité, le camp mondialiste est tellement puissant qu’il a les moyens de corrompre la majeure partie du personnel politique d’un pays comme la France. Voilà pourquoi il n’y a jamais de débat sur l’immigration ou sur la participation de la France à la guerre en Ukraine.
En conséquence, il n’est pas étonnant que la vie politique française soit dans l’impasse : les acteurs sont en effet tous dans le même camp, celui du mondialisme. Pour sortir de l’ornière, il faudrait un parti antimondialiste qui, malheureusement, n’existe pas.
Or qu’est-ce qu’une opposition au mondialisme ? Quand on se rappelle que les révolutions française et russe ont toutes deux étaient faites sur une base antichrétienne, force est d’en conclure que l’antagonisme fondamental qui est sous-jacent à tous les conflits politiques est justement l’opposition entre le christianisme et les forces mondialistes d’essence satanique.
C’est pourquoi la reconstruction de la France ne peut se faire sans un renouveau chrétien. Il est vrai qu’il implique un repentir des chrétiens eux-mêmes, dont beaucoup sont tombés sous l’influence de la propagande maçonnique.

C’est donc un appel qui nous faisons à tous les Français : qu’ils retrouvent leurs racines chrétiennes. Or la majorité des chrétiens se trouvent dans l’Eglise conciliaire, fortement infiltrée par la franc-maçonnerie.
Il faut donc définir une stratégie pour la « convertir ». On peut prendre pour cible les évêques, les curés ou les paroissiens. Les évêques ? Ils sont pour la plupart inféodés au système et on ne réussira pas à les en déloger. Les paroissiens ? Ils sont, pour une majorité d’entre eux, esclaves de trois péchés : le subjectivisme, le relativisme et l’idolâtrie (de la république). Restent les curés. Ce sont eux que nous avons choisi de prendre pour cible.
Il faut les prendre un à un et les mettre devant un choix : soit ils se « convertissent » (notamment en reconnaissant que la vénération de la république est de l’idolâtrie), soit ils seront parmi les victimes du plus grand chambardement de tous les temps qui s’annonce, probablement dans moins de cinq ans, et qui est la matérialisation du « grand châtiment » dont parlait la Sainte Vierge à Fatima en 1917.

Plus...