Leur démocratie est un leurre
Depuis des années, et même des décennies, on nous impose une immigration extra-européenne massive – plus de 400 000 personnes par an – sans qu’il n’y ait jamais eu un débat au Parlement sur la question. Et quand Jean-Marie Le Pen, il y a quarante ans, a commencé à dénoncer le phénomène, on lui a ri au nez et on a tout fait pour le ridiculiser.
Aujourd’hui on nous impose un deuxième confinement et, là encore, il n’y a eu aucun débat sérieux au Parlement. Il faut dire, à la décharge du pouvoir, qu’aucun parti politique n’est monté au créneau pour s’y opposer. Ce serait aller à contre-courant, ce que personne n’ose faire. Et lorsque nombre de médecins et de scientifiques élèvent la voix pour dénoncer la propagande qu’on nous impose, les médias se taisent et ne leur donnent pas la parole. La réalité est qu’il y a eu 48 518 décès au 21/11/2020 (chiffres officiels de la Santé Publique), ce qui représente un taux de mortalité inférieur à 1/1000 ! Alors qu’il est 10 fois supérieur pour le cancer et 18 fois supérieur pour les maladies cardiovasculaires.
La conséquence de tout cela est, malheureusement, facile à voir : une augmentation catastrophique de la délinquance, une économie qui s’écroule, la disparition probable de nombreux cafés et restaurants qui vont réduire d’autant la vie sociale, un chômage qui va monter en flèche, de nombreux suicides et – « cerise sur le gâteau » - l’instauration progressive d’une dictature.
Comment en sommes-nous arrivés là ? Si l’on regarde les choses au premier degré, nous voyons bien que, depuis deux cents ans, la franc-maçonnerie a pris le pouvoir en France et nous impose une caricature de démocratie en maintenant le peuple dans l’illusion alors que tout est organisé pour que ceux qui sont au pouvoir s’y maintiennent. Si l’on regarde les choses au second degré, c’est, depuis plus d’un siècle, une trentaine de « super-loges » de la franc-maçonnerie – soit environ 3500 personnes réparties sur les cinq continents – qui tirent les ficelles et décident, en l’absence totale de toute démocratie, des grands choix de société vers lesquels elles veulent nous entraîner. Et si l’on regarde les choses au troisième degré, alors c’est le Diable en personne qui joue son jeu – via la franc-maçonnerie - pour tout détruire et asseoir un nouveau pouvoir qui règnera sans partage sur une population mondiale réduite à 500 millions d’hommes. Et, pour réaliser tout cela, on instaure un gouvernement par la peur.
Comment sortir de cet enfer ? Et pour instaurer quel projet de société ? On a l’impression qu’il n’y a pas de solution : personne ne souhaite une dictature et il apparaît que la démocratie ne fonctionne pas. Cela paraît sans issue…
La réponse, c’est le Christ qui l’apporte : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent » (Luc 16, 13). Il faut, à la tête de l’Etat, un roi très chrétien, « lieutenant de Dieu sur terre », qui instaure un pouvoir fort, au-dessus des partis politiques, tout en faisant fonctionner la démocratie, à la manière suisse, pour tout ce qui concerne la vie courante. C’est ce qu’ont fait les rois de France pendant treize siècles – sans eux la France n’existerait pas aujourd’hui – en défendant toujours le peuple contre les oligarchies.
Vive le roi !