Le masque, outil de soumission
Un ami médecin a collecté des études démontrant la non efficacité du masque. Les voici.
Une méta analyse de 2020 a inclu 14 essais randomisés évaluant les effets du masque chez les personnels soignants ou en population générale pour la prévention des syndromes grippaux. Il n’y avait pas de réduction significative de syndromes grippaux, ni de cas de grippe dans le groupe masque versus le groupe non masqué.
Une étude randomisée contrôlée danoise a évalué l’impact du port du masque en population générale (en plus des autres mesures de distanciation sociale) sur l’infection à Sars-cov-2 mesuré par des tests sérologiques, des tests par RT-PCR ou un diagnostic de covid hospitalier. 3030 participants devaient porter le masque tandis que 2994 participants ne portaient pas le masque. Il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre les nombres d’infection des deux groupes.
En février 2021, Europeen Center for Disease and Control (ECDC) rendait dans un avis que les preuves de l’efficacité du port du masque non-médical et médical par le grand public étaient inexistantes ou très faibles.
Selon l’Institut Norvégien de la santé publique, il n’existe aucune preuve que les masques non-médicaux (type tissu) soient efficaces pour la prévention de la transmission en population générale. Concernant le masque médical, les études cliniques randomisées indiquent seulement un très faible effet protecteur.
The Center for Evidence-Based Medicine de l’Université d’Oxford, après revue de la littérature, montre qu’il n’y a pour l’instant pas de preuve de l’efficacité des masques en population générale.
Dans une étude quasi-expérimentale (sans randomisation) et en préprint qui a corrélé les cas de COVID-19 signalés et les décès avec les restrictions imposées dans 30 pays européens, l’usage des masques couvrant le visage semblait avoir initialement un effet sur la baisse du nombre de cas mais, après 15 jours d’usage, le nombre de cas de COVID ré-augmentait, suivi ensuite par une augmentation de la mortalité.
Dans un article publié dans le New England Journal of Medicine, Mickael Kompas pense que le port du masque en dehors des centres de soins n’offre que peu de protection, si jamais cela en offrait une. La probabilité d’attraper le COVID lors d’une interaction fugace dans un lieu public est minime. Selon Kompas, le désir de masquer en population générale est une réaction réflexe à l’anxiété générée par la pandémie.
Santé publique France : « Les preuves manquent pour montrer l’intérêt de l’utilisation de masques chirurgicaux pour la protection des personnes potentiellement exposées dans l’espace public. »
Une étude allemande s’est intéressée pour la première fois à rapporter les effets du port du masque chez l’enfant. Avec un temps moyen de port du masque de 270 mn/jour, les effets indésirables des masques rapportés par les enfants et/ou les adultes en charge d’enfants étaient présents chez 68% des enfants, avec 60% d’irritabilité, 53% de céphalées, 50% des enfants avaient des difficultés de concentration, 49% étaient moins joyeux, 44% ne voulaient plus aller à l’école ou au jardin d’enfants, 38% avaient des difficultés d’apprentissage, 37% souffraient de somnolence ou fatigue.
Toutes ces études conduisent à la même conclusion : non seulement le port du masque n’apporte rien mais il a même des effets négatifs chez nombre d’enfants. Ajoutons à cela les effets négatifs pour les adultes : la quasi disparition de toute vie sociale et, pour certains, l’isolement pouvant conduire à la dépression voire au suicide.
En vérité, on veut nous imposer le vaccin et, plus tard, un nouvel ordre mondial
Vacciner un maximum de monde a une logique : faire gagner beaucoup d’argent aux trusts pharmaceutiques. Comment expliquer, sinon, l’interdiction faite en France aux médecins d’utiliser l’hydroxy chloroquine alors que ce médicament soigne 1,3 milliards d’individus en Inde ? Pourquoi prendre le risque de se faire vacciner – par des vaccins dont on ne connait pas l’effet à moyen et à long terme – alors qu’on peut facilement guérir avec l’hydroxy chloroquine ?
La logique ultime, au-delà du profit financier, est de soumettre les populations – toute réunion syndicale ou politique étant très difficile à réaliser – afin d’en finir avec le simulacre de démocratie qu’on nous a imposé pendant deux siècles et basculer vers un totalitarisme mondial, en échange, soi-disant, de la santé et du bien-être.
On nous promet d’être des oiseaux heureux dans une cage dorée
Une seule alternative : rejoindre les manifestations de rue pour exiger l’arrêt immédiat du confinement et des mesures associés (masque, distanciation sociale, etc.) et la reprise de toutes les activités économiques.