Ils gouvernent par la peur, le mensonge et la planche à billets

Boris Johnson, Donald Trump et le président brésilien Bolsonaro ont été malades du COVID-19 et, en huit jours, ils ont été guéris ! De même, tout un pays, l’Inde – 1300 millions d’habitants – se guérit facilement du COVID-19 et on y recense zéro mort… tout simplement parce que les gens se soignent à l’aide de l’hydroxy chloroquine.

Alors qu’en France l’hydroxy chloroquine est interdite !

Nos dirigeants – et pas seulement en France – ne cessent de nous mentir. Pourquoi mettre en place une lourde logistique pour vacciner les gens alors qu’on peut facilement se soigner ? La dose de vaccin coûte entre 17 et 30 euros, soit trois à cinq fois plus cher que l’hydroxy chloroquine, qui ne coûte que 5 euros par dose.
Il y a deux raisons à cela : d’une part l’argent, puisque les trusts pharmaceutiques font d’énormes profits en vendant leurs vaccins ; d’autre part la soumission des peuples, sans même interdire les rassemblements et manifestations, puisque les esprits sont conditionnés par la peur.
Où cela nous conduit-il ? A la ruine économique de la France et même de toute l’Europe assurément. Mais aussi à la désintégration de tout le tissu social puisque les rencontres sont très réduites et 25% de la population, selon certains sondages, sont au bord du suicide.
Il est intéressant de se pencher sur une branche économique particulière : celle des bars et restaurants. Alors que les multinationales de la restauration rapide spéculent sur leur disparition suivie d’un rachat à bas prix, les patrons des bars et restaurants sont sereins, car leur puissant syndicat a obtenu de l’Etat le paiement d’indemnités d’immobilisation élevées.  Voilà comment on achète la paix sociale !
Comment se fait-il que la France ne soit pas encore ruinée ? Grâce à la planche à billets, évidemment. Voici le constat que fait Agnès Verdier-Molinié (« La France peut-elle encore tenir longtemps ? », Ed. Albin Michel 2021) : « La vérité ? Nous sommes à sec. Nous vivons à crédit. En 2020, la France a emprunté 380 milliards, (…) soit un milliard par jour ».
Mais, dira-t-on, nous ne sommes pas les seuls. Effectivement, quasiment tous les pays occidentaux ont une dette qui oscille entre 100 et 250% du PIB. Nous en sommes à 120, il y a de la marge ! Mais tout cela ne peut pas durer. On ne peut pas éternellement faire marcher la planche à billets. Cela ne dure que tant qu’il y a la confiance. Mais si celle-ci est perdue, tout s’écroule. Et, ce jour-là, « plus de versement des retraites, plus de financement des salaires des agents publics, plus de versement des prestations sociales, etc. ».
Le bon sens nous dit que, s’il y a un « moins » quelque part, c’est qu’il y a un « plus » ailleurs. Effectivement, Agnès Verdier-Molinié explique : « Depuis 1995, nous avons déjà dépensé plus de 1300 milliards en intérêts cumulés de la dette », soit environ 50% de la dette totale actuelle. Cela a commencé avec la loi Pompidou de janvier 1973, qui oblige la Banque de France à emprunter auprès des banques alors qu’auparavant son taux d’intérêt était nul.

Pendant que les pays s’appauvrissent, les grandes banques s’enrichissent

Les présidents Sarkozy, Hollande, Macron sont des marionnettes au service du cartel des grandes banques internationales, lequel n’est qu’un des outils de domination de l’oligarchie mondialiste.
C’est pourquoi il nous faut développer la résistance en organisant, tous les samedis, des rassemblements devant nos préfectures, afin d’exiger

Arrêt immédiat de tout confinement et du port du masque

Liberté accordée aux médecins d’utiliser l’hydroxy chloroquine pour les soins

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