Des prévisions à haute probabilité de réalisation

Le 13 février 2003, la Cour européenne des Droits de l’homme, dans son arrêt « Refah Partisi contre Turquie », conclut entre l’incompatibilité des règles de la Charia avec la démocratie :
« Comme la Cour constitutionnelle, la Cour considère que la Charia, qui reflète fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, est stable et invariable. Des principes tels que le pluralisme dans la sphère politique, ou l’évolution constante des libertés publiques n’y ont aucune place.
La Cour relève que, lorsqu’on les lit conjointement, les déclarations offensantes [de la Charia], qui contiennent des références explicites à l’instauration de la Charia, sont difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention [universelle des Droits de l’homme].
Il est difficile de se déclarer à la fois respectueux de la démocratie et des droits de l’homme, tout en soutenant un régime fondé sur la Charia, qui se démarque clairement des valeurs de la Convention [universelle des Droits de l’homme], notamment concernant ses règles de droit et de procédure pénales, sa règlementation concernant le statut légal des femmes, et à la façon dont il intervient dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux préceptes religieux.
De plus, les déclarations [de la Charia] concernant le désir de fonder un « ordre juste », ou « l’ordre de la justice », ou « l’ordre de Dieu », quand elles sont lues dans leur contexte, et même si elles conduisent à des interprétations variées, ont comme dénominateur commun de se référer à des règles religieuses ou divines afin de définir le régime politique préconisé par ses proposants. Elles révèlent l’ambiguïté de l’attachement de ses proposants à un autre ordre que celui basé sur les règles religieuses.
Selon la cour, un parti politique dont les actions semblent être destinées à introduire la Charia dans un Etat signataire de la Convention [universelle des Droits de l’homme] peut difficilement être regardé comme une association se conformant à l’idéal démocratique qui sous-tend l’ensemble de la Convention. »

En clair, culture européenne et culture musulmane sont incompatibles

Deux cultures foncièrement différentes coexistant sur un même sol ne peuvent que conduire à l’explosion. C’est d’ailleurs ce que nous enseigne le Christ : « Tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine » (Matt. 12, 25). C’est aussi ce danger que dénoncent des militaires français de haut grade dans une lettre ouverte signée par plusieurs milliers d’entre eux (27 258 signataires à la date du 14/05/2021) : « Notre honneur aujourd'hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie. Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s'affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés (…) ; délitement qui, avec l'islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution (…) ; délitement car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l'ordre comme agent supplétif et bouc émissaire face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs. Les périls montent, la violence s'accroît de jour en jour… »

En conformité avec ce constat, mais déjà depuis plusieurs années, différents cercles de militaires se sont formés pour réfléchir aux scénarios possibles. Parmi eux, un officier parachutiste d’active s’est fait interviewer sur un fil Telegram relativement confidentiel, appelé Gallia Daily

(https://leblogalupus.com/2021/06/06/invasion-migratoire-alerte-un-officier-parachutiste-appelle-a-la-guerre-civile-maintenant/).

Tout d’abord une certitude partagée par tous ces groupes de réflexion : la France va se diviser en deux camps qui se combattront d’une manière violente. Et ceci se produira dans moins de dix ans. Selon cet officier, ce ne sera pas à proprement parler une guerre raciale car cette expression se concentre sur l’aspect racial (ou ethnique) du conflit. Ce terme implique que les Blancs seront tous unis contre les Noirs qui seront eux-mêmes tous unis contre les Blancs. Cela ne se passera pas ainsi. Par ailleurs, ce ne sera pas une guerre civile, « puisque les Français de souche seront nécessairement opposés à d’autres Français de souche », avec des immigrés (récents ou anciens) dans les deux camps.
Le groupe de réflexion prospective dont fait partie cet officier a imaginé que le scénario le plus probable est le suivant.

PHASE 1 : DÉCLENCHEMENT – Émeutes à l’échelle nationale
Dans notre scénario, la France est en pleine période électorale, le débat fait rage et à l’image des récentes élections américaines, les tensions raciales sont à leur comble, le sentiment anti-police également. Un contrôle de police dégénère, les images sont diffusées sur les réseaux sociaux comme SnapChat, plusieurs villes font face à des émeutes, les politiciens de gauche encouragent indirectement les tensions à travers leurs relais médiatiques, en organisant des manifestations, en appelant les lycéens et les étudiants à bloquer leurs écoles.
La situation dégénère en une émeute nationale, les centres-villes sont le théâtre d’émeutes et d’exactions, les infrastructures (bus, métro, tramway, périphériques) sont régulièrement bloquées, réduisant les flux économiques. Des groupes de civils s’organisent pour se défendre contre les émeutiers.

PHASE 2 : TRANSITION – instabilité politique
Finalement, dans notre scénario, après plusieurs semaines et de nombreux morts, face à la pression internationale, le calme revient. Mais la situation n’est plus jamais la même. La violence a laissé des traces dans le pays, comme un traumatisme à l’échelle de la société, la ligne rouge est définitivement tracée sur le terrain entre les deux camps. Les groupes d’autodéfense formés par les citoyens pendant les troubles continuent d’exister de manière informelle et de se renforcer et de s’organiser, car chacun a le sentiment que ces événements pourraient se reproduire…

PHASE 3 : GUERRE OU PAS ? – Trois voies possibles
A ce moment du scénario, les avis au sein de notre groupe de travail ont divergé en 3 groupes : 1) PAS DE GUERRE : la France devient un pays communautaire de fait, où les Français de souche se soumettent et acceptent d’être une communauté parmi d’autres ; 2) SÉPARATION DE FACTO : d’un côté, une France musulmane et, de l’autre, une organisation étatique parallèle de facto, avec ses fonds de solidarité, sa police basée sur des groupes d’autodéfense, ses institutions ; 3) GUERRE TOTALE : Ceux qui pensent que la situation est insoluble entre les trois camps (NDR : les durs des deux camps et le camp des tièdes) et qu’elle finira par dégénérer en guerre ouverte, au sens propre du terme, impliquant des combats militaires.
Et l’officier conclut : « La question qui va se poser est en effet la suivante : jusqu’où la population française est-elle prête à aller pour garantir sa survie et l’avenir de ses enfants ? C’est là que le pays sera divisé, entre ceux qui sont prêts à tout, et ceux qui veulent fixer des limites plus ou moins strictes. C’est ce débat qui fera durer le conflit ».
Pour notre part, nous sommes convaincus que ce scénario est réaliste. Nous disposons donc de moins de dix ans pour nous préparer dans les meilleures conditions possibles à un affrontement violent incontournable.

Rejoignez-nous pour mettre en place dès maintenant l’organisation nécessaire pour que la France survive.

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