Demain, la guerre civile

Voici un exemple de ce que vivent aujourd’hui toutes les villes moyennes en France. « Dijon qui, il y a encore seulement vingt ans, était considérée comme la ville ‘’où l’on vivait le mieux en France’’, ne sait plus comment endiguer les hordes de délinquants ultra-violents qui quadrillent les quartiers des cafés et des restaurants qui faisaient jadis tout le charme de cette ville gastronomique. (…) Ni la police municipale, ni les caméras de surveillance n’entravent les menées de voyous brutaux et impunis qui détroussent et tabassent les imprudents croyant pouvoir profiter tranquillement d’une soirée en famille ou entre amis pour déguster un délicieux Bourgogne ou profiter de leur belle ville sous les étoiles en fin de journée » (Rivarol, 30/11/2022).
Certains diront « la violence, cela a toujours existé ». Oui, mais pas la même que celle que nous vivons aujourd’hui. Une gazette locale, dans la ville de Bordeaux, publiait, au début du XXème siècle, un fait divers : « hier, dans telle rue, un manteau a été volé ». Voilà le plus grand crime que vivaient les Français à cette époque. Une époque où la France était encore chrétienne.
Où cela nous conduit ? Il n’y a qu’à regarder ce que vivent les habitants de la petite île de Mayotte, qui vivait dans la paix il y a quelque vingt ans : des bandes de jeunes se battent à la machette : « deux bras coupés pour un bras en moins ». Voilà ce qui nous en attend en métropole.
Alors on devine la suite. Dans un premier temps, des milices de défense vont se former. Fatalement, il y aura des morts. Il s’en suivra des représailles soutenues activement par Mélenchon et ses acolytes. Et l’engrenage de la guerre civile est prêt à se produire : des Français de souche alliés à des immigrés contre d’autres Français de souche alliés à d’autres immigrés.

Tout ce désordre a été planifié

Une première date vient à l’esprit : l’assassinat de Kadhafi par Nicolas Sarkozy en 2011. Alors que la Libye faisait obstacle à l’invasion migratoire, le verrou ayant sauté, c’est toute une immense vague migratoire qui déferle sur les côtes françaises et italiennes. Mais nous savons que l’immigration a commencé plus tôt. Une autre date vient à l’esprit : la fin de l’Algérie française en 1962. Les militaires au pouvoir en Algérie étant incapables d’assurer le développement économique du pays, ce sont des dizaines de milliers d’Algériens qui débarquent en France en toute légalité.
Mais remontons plus loin dans l’histoire. Tout a commencé en 1943, à Casablanca, lors de la rencontre entre des représentants de la France et des Etats-Unis, au cours de laquelle fut exprimée la politique de « délestage » des Américains : sous l’influence des grandes banques internationales, le président Roosevelt développait l’idée qu’il fallait donner l’indépendance aux colonies afin que les puissances financières puissent focaliser leurs investissements sur les secteurs les plus rentables.

La politique de décolonisation est donc un complot

A Casablanca, « le Général Giraud avait claqué la porte tandis que le Général De Gaulle s’était soumis » (Robert Saucourt, « Mémoires d’Empire », Editions des CIMES, 2021).
Voilà pourquoi plusieurs groupes de réflexion internes à l’armée d’active arrivent à la même conclusion : un grand affrontement se produira dans les dix ans à venir. On peut leur faire confiance : c’est en effet le métier des militaires d’identifier l’ennemi et d’analyser où et quand il va frapper.
Que pouvons-nous faire ? S’y préparer mentalement. Cela commence, pensons-nous, par la reconstitution de la Chrétienté. C’est pourquoi il faut que s’organisent dans toutes les églises de France des cercles de discussion permettant aux chrétiens de comprendre le caractère diabolique de la république. Il suffit de lire les articles 3 et 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 pour s’en convaincre.

République et christianisme sont incompatibles

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