De la laïcité

Il y a deux définitions de la laïcité. Voyons d’abord celle de l’Eglise : « la laïcité, c’est la distinction entre la sphère politique et la sphère religieuse » (Compendium de la doctrine sociale de l’Eglise, N°571, Libreria editrice vaticana, 2005). Et le texte ajoute : « le principe de laïcité comporte le respect de toute confession religieuse de la part de l’Etat. » (idem, N°572).
Selon le site officiel « Vie publique », « La laïcité est un des principes définissant la République qui est "indivisible, laïque, démocratique et sociale" (art. 1 de la Constitution). Inscrite dans la Constitution de 1946 et reprise par la Constitution de 1958, la laïcité figure parmi les droits et libertés fondamentaux garantis par celle-ci, au même titre que l’égalité ou la liberté ».
Selon le Conseil constitutionnel (décision du 21 février 2013), résultent du principe de laïcité : a) le respect de toutes les croyances et l’égalité de tous les citoyens devant la loi sans distinction de religion ; b) la garantie du libre exercice des cultes ; c) la neutralité de l’État ; d) l’absence de culte officiel et de salariat du clergé. La loi de 1905 de séparation des Églises et de l'État est la clé de voûte de la laïcité en France. 
Il n’y a pas de contradiction entre ces deux approches. Seulement les belles déclarations de principe des différentes institutions de la république ne sont pas appliquées. Ainsi, on cite plusieurs cas de communes, Strasbourg notamment, qui accordent des subventions aux communautés musulmanes qui veulent construire une mosquée. Certaines communes fournissent même un terrain, avec un loyer dérisoire.

Ce sont des violations du principe de neutralité de l’État

De même, quand on sait que les vagues successives d’immigrés qui envahissent la France sont souvent musulmanes, on sort du principe de la neutralité. En effet, si, dans un pays imaginaire, il y a plusieurs religions ayant des poids démographiques équivalents, le respect de la neutralité a un sens. Mais si – comme c’est en train de le devenir - une religion, l’islam, s’évertue à envahir sournoisement toutes les sphères de la vie publique (horaires différents pour les hommes et les femmes dans les piscines, nourriture hallal imposée dans certaines écoles et abattage hallal dans tous les abattoirs d’Ile de France, refus des médecins masculins pour soigner une femme musulmane dans certains hôpitaux, etc.) sans véritable opposition des pouvoirs publics, alors la neutralité cesse d’être une référence.

Les pouvoirs publics laissent faire la subversion islamique

Le principe de laïcité, présenté comme une des valeurs-clé de la république, n’est pas respecté. Et nous savons où cela nous conduit : au « grand remplacement », c’est-à-dire à l’effacement de la civilisation chrétienne bimillénaire au profit d’une civilisation étrangère.
Soyons réalistes : la neutralité n’existe pas et ne peut pas exister. On nous fait croire à une utopie alors qu’en vérité, toutes les républiques – en France et à l’étranger – qui se sont succédées depuis 1789 sont toutes des républiques dirigées en sous-main par la franc-maçonnerie, laquelle a comme objectif premier de détruire le christianisme.

L’objectif caché est la disparition du christianisme

Et les esprits ont été tellement formatés par l’école de la république que beaucoup pensent juste la séparation de l’Eglise et de l’Etat, donc l’établissement d’une société sans Dieu. Mais faire comme si Dieu n’existait pas, c’est vivre dans le mensonge. Depuis le milieu du XXème siècle, toute la communauté scientifique de la planète reconnaît qu’il y a un dieu qui a créé l’univers. Les athées l’appellent « dieu » et les chrétiens l’appellent « Dieu ». Qui a raison ? Les chrétiens, car on peut prouver rationnellement que la Bible est la Parole de Dieu.
Puisque l’Etat rejette toute référence à Dieu, comment peut-il assurer l’ordre public ? Car il faut choisir entre Dieu et l’Argent. Or il est impossible d’assurer l’ordre public en prenant l’Argent comme un absolu. La négation de Dieu, c’est la croyance que l’univers est éternel. On bâtit donc une civilisation sur une négation de la réalité. De plus cette idéologie mène à la violence. Le XXème siècle, présenté officiellement comme le siècle du progrès, est en réalité le siècle le plus sanglant de tout l’histoire de l’humanité : deux cents millions de morts.

Dans le grand combat pour ou contre la laïcité, nous savons que Jésus-Christ vaincra

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