Au-delà du drame que vit une famille

La petite Louise, une fillette de 11 ans, a été sauvagement assassinée par un jeune homme qui voulait simplement déverser sa colère sur quelqu’un. Au-delà de la tristesse et de la souffrance que nous partageons avec sa famille, il nous faut comprendre pourquoi une telle atrocité a pu se produire et que faire pour que cela ne se reproduise pas.
Car, malheureusement, ce cas n’est pas unique. Les services de police attirent notre attention sur la multiplication des déversements de colère sur des victimes n’ayant rien à voir avec les causes du sentiment qui a déclenché de tels actes innommables. Si cela continue – et rien ne dit le contraire – nous allons droit vers un retour à la barbarie la plus sanglante.

Comment arrêter cette marche vers la barbarie ?

Tout d’abord, il faut en comprendre la cause. Pour rester simple, ces phénomènes trouvent leur source dans deux réalités : l’immigration à marche galopante (de l’ordre de 500 000 arrivées chaque année) et le paganisme. Cette immigration déverse sur le sol français des africains, des arabes et des indiens ayant une toute autre culture que la nôtre. Nous verrons plus loin sur quoi d’essentiel porte la différence. Quant au paganisme, il trouve sa source philosophique dans la métaphysique moniste, qui croit que l’univers s’est construit tout seul et que l’homme est donc tout puissant.
Avant l’ère chrétienne, les sacrifices humains étaient monnaie courante. Les hommes pensaient qu’on peut seulement calmer la colère présumée des dieux en faisant couler le sang, c’est-à-dire par des sacrifices humains. Et c’est l’arrivée du christianisme qui a stoppé ces pratiques. Pourquoi ? Parce que les sacrifices des hommes étaient remplacés par le sacrifice d’un seul, le Christ, et que celui-ci appelait les hommes à l’imiter, en leur transmettant le commandement « Voici quel est mon commandement : vous aimer les uns les autres comme je vous ai aimés. Nul n’a plus grand amour que celui-ci : donner sa vie pour ses amis » (Jean 15, 12-13). Donc en remplaçant le sacrifice des autres par le sacrifice de soi-même.
En conséquence, le danger mortel des vagues migratoires est d’insuffler dans les populations françaises le retour à la barbarie, c’est-à-dire à la multiplication des sacrifices humains. C’est pourquoi la seule alternative est le christianisme, d’où il résulte que le combat spirituel et le combat temporel sont un seul et même combat.

La seule alternative est le christianisme

C’est ainsi qu’il faut changer les esprits. Il ne suffit pas de dire « de tels drames ne se produiraient pas si les parents s’occupaient mieux d’éduquer leurs enfants ». Tout dépend comment eux-mêmes sont éduqués ! Et l’éducation qu’ils doivent recevoir ne peut être que chrétienne.
Comment faire ? Former partout des groupes qui pourraient s’appeler, par exemple, « Les compagnons de Jonas » comme nous commençons à en implanter. Ceux-ci auront pour mission de se  battre pour instaurer une république chrétienne, qui se caractérisera par le fait que :

La constitution doit faire référence à la doctrine sociale de l’Eglise

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