A propos de la nationalité

L’invasion migratoire, qui a commencé à prendre de l’ampleur avec la loi abjecte du regroupement familial instauré par Valéry Giscard d’Estaing, a pris une importance telle que l’on peut parler, à juste titre, d’un cheminement progressif et rapide vers un « grand remplacement », les Français de souche devenant minoritaires dans leur pays.
Que faire pour s’opposer à ce phénomène ? Prendre le pouvoir, dira-t-on. Certes, mais avec le système électoral que nous avons, cela ne changera rien : ce sont les immigrés qui prendront les décisions qui leur conviennent. En quoi est-ce choquant, pourrait-on s’interroger. Après tout, c’est le jeu normal de la démocratie…
Oui, mais une démocratie ne fonctionne qu’à partir du moment où l’on a défini qui est électeur et qui est éligible. La réponse a cette double question est simple, même si elle n’est pas politiquement correcte. Ne peuvent être électeurs, et encore moins éligibles, ceux et celles qui se réclament d’une idéologie qui les rattache à une communauté extérieure à la France. Nous ne citerons pas de nom, car nous nous ferions accuser de racisme. A chacun de juger qui est concerné.
Parmi ces personnes qui se reconnaissent dans une idéologie dépassant le cadre de la France, nombreux sont ceux qui ont une double nationalité. Cela doit être totalement interdit. Il est ahurissant que cela ne le soit pas. Car que veut dire double nationalité ? Une personne qui possède à la fois la nationalité française et celle d’un autre pays. Appelons ce pays X. Il est naturel que, au moins de temps et temps, elle oriente son vote dans un sens favorable au pays X et non à la France. Cela s’appelle une trahison.
Ces personnes qui ont une double nationalité, comme celle qui se revendiquent d’une idéologie « hors frontières », sont en fait une « cinquième colonne », un cheval de Troie au service de puissances étrangères. Elles doivent être déchues de la nationalité française, à moins de se convertir aux valeurs chrétiennes de la France.
Cette conversion doit se traduire en actes. Tout d’abord maîtriser la langue française.  Ensuite avoir acquis une connaissance minimale de l’histoire de France et de la culture française. Enfin, signer un engagement à ne jamais pratiquer un quelconque prosélytisme en faveur de ses anciennes convictions idéologiques.
Ce sont les conditions non négociables pour éviter le « grand remplacement ». Comment aboutir à cette nouvelle réglementation ? En mettant en place localement des comités de sauvegarde de la culture française qui exigeront que les personnes ayant double nationalité soient rayées des listes électorales.