Bienvenue sur notre site légitimiste
LE PAPE LÉON XIV, QUELLE COULEUR POLITIQUE ?

« Le premier dossier est celui de l’unité de l’Eglise catholique » (Le Figaro du 9/05/2025). Cela implique de résoudre la rupture entre traditionnalistes et conciliaires. Or celle-ci est impossible tant que le chef de l’Eglise Catholique ne remet pas en cause Vatican II. Lequel concile est dans l’hérésie ne serait-ce que sur la question de la liberté sexuelle. Depuis Vatican II, le discours de l’Eglise consiste à mettre toutes les religions sur le même plan. Parlant des diverses religions non chrétiennes, il est écrit textuellement : « L’Eglise catholique ne rejette rien de ce qui est vrai et saint dans ces religions. Elle considère avec un respect sincère ces manières d’agir et de vivre, ces règles et ses doctrines qui, quoiqu’elles diffèrent en beaucoup de points de ce qu’elle-même tient et propose, cependant apportent souvent la vérité qui illumine tous les hommes. » (Concile œcuménique Vatican II, Déclaration sur les relations de l’Eglise avec les religions non chrétiennes).
On parle de « ce qui est vrai » et le texte évoque « la vérité qui illumine tous les hommes ». Donc deux références à la vérité dans une unique phrase. C’est totalement contraire à, ce que dit le Christ : « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 14, 6)
La condition nécessaire et suffisante pour que l’Eglise catholique retrouve son unité est le rejet de Vatican II. Léon XIV n’étant pas décidé de s’engager dans cette voie, il est dans l’hérésie.
POUR UN ROI TRES CHRETIEN
Pendant treize siècles, le plus ancien royaume d’Europe, la France, fut dirigé par un Roi surnommé « très chrétien » . Pourquoi ?
Après le baptême de Clovis par l’archevêque de Reims, Saint Rémi, celui-ci laissa un testament indiquant clairement que la vocation de la France était d’abord de défendre la foi chrétienne ; si elle y répondait par ses actions, elle réussirait toutes ses entreprises, mais si elle montrait de l’hostilité vis-à-vis de l’Eglise, elle serait rudement châtiée. L’histoire de la France n’a fait que confirmer cette prédiction. Notamment, depuis 1789 et ses droits de l’homme sans Dieu, ne voit-on pas les catastrophes se succéder, les guerres devenir de plus en plus meurtrières et les régimes politiques être renversés les uns après les autres? A l’inverse, quand nous avons eu un saint roi comme Louis IX (précédé par plusieurs autres qui, avec moins de qualités, avaient vigoureusement défendu la chrétienté), la France a connu un très grand siècle de prospérité dont nous pouvons encore admirer certains effets, comme nos cathédrales.
Tous nos rois savaient que le vrai Roi de France était le Christ et qu’ils n’étaient que leur lieutenant : Jeanne d’Arc l’a fait acter devant notaire par Charles VII, Louis XIV lui-même l’a proclamé. En conséquence, vis-à-vis de son peuple, le roi avait des pouvoirs d’autorité temporelle et des responsabilités spirituelles ; il ne devait pas prendre des décisions politiques contraires à la morale chrétienne.
Le principal combat des rois a été leur lutte contre les pouvoirs féodaux d’abord puis contre les puissances financières (ex : Louis XIV contre Fouquet). Mais ils n’ont pas su stopper la dérive individualiste de la bourgeoisie influente et d’une partie de l’aristocratie.
POUR L’AVENIR :
La nécessité de tourner le dos à cette société devenue mondialiste qui nous mène aux pires catastrophes devient évidente. En remplacement, il faut :
- un roi , muni de pouvoirs d’autorité puissants, y compris militaires
- des corps intermédiaires représentatifs (familles, métiers, professions, communes)
- des lois imprégnées d’esprit chrétien
L’autorité du roi vient en aide à la faiblesse humaine et va jusqu’à écarter les obstacles à la vie surnaturelle de ses sujets : il est le garant des libertés. Loin des idéologies, il convient de retrouver le réalisme chrétien, c’est-à-dire souder le naturel et le surnaturel, le temporel et l’éternel.
C’est ce qu’on appelle la « monarchie institutionnelle », dans laquelle le roi, par son sacre, détient son pouvoir de Dieu et la constitution lui est soumise, à l’opposé des « monarchies constitutionnelles », dans lesquelles le pouvoir du roi est déterminé par la constitution. Ce sont ces dernières qu’on rencontre en Espagne, en Grande-Bretagne, en Belgique, etc. Mais c’est seulement dans les premières qu’on peut dire que le roi est le lieutenant de Dieu sur terre.
Après le temps de la justice (menaces monétaires, économiques, islamiques, sociales) viendra le temps de la miséricorde et du retour de la France à sa vocation première :
AVOIR UN ROI TRES CHRETIEN
Contact
prtc75@orange.fr
Notre dernier livre

Croissance zéro

Pélerinage à PONTMAIN
Venez prier pour le retour du roi
le 17 de chaque mois
Renseignements :
chouandecoeur@orange.fr
Mob. 06 07 50 26 58