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UN NOUVEAU PREMIER MINISTRE POUR NE RIEN CHANGER
L’autre instrument est le coût de l’énergie. Comment se fait-il que, alors que, grâce à nos centrales nucléaires, nous avons l’énergie électrique la moins chère du monde, nous sommes obligés de vendre l’électricité au prix allemand ? Tous les analystes sérieux ont depuis longtemps compris que la soi-disant guerre d’Ukraine est en réalité une guerre économique que les Etats-Unis mènent contre l’Europe. En effet, un prix de l’énergie élevé – alors que les échanges commerciaux avec la Russie assuraient un prix très bas – entraîne toute l’Europe dans le puits sans fond d’une forte désindustrialisation.
D’aucuns diront que ce serait un nouveau colonialisme. C’est une vision dogmatique. Rappelons que l’indépendance d’un pays ne peut se faire que si celui-ci dispose d’une force armée conséquente, ce qui n’existe dans aucun pays africain. Les peuples ont donc le choix entre des déplacements de populations massifs et des guérillas permanentes conduisant à de nombreux morts, dont beaucoup de civils, ou une assistance militaire conséquente de la part de la France.
Au total, la dépense publique relative aux écoles primaires, aux collèges et aux lycées publics et sous contrat s’est élevée en 2014 à 93,4 milliards d’euros, soit un écart positif de plus de 30 milliards d’euros par rapport à une prestation équivalente conduite par le privé (hors contrat). Aujourd’hui – nous n’avons pas les derniers chiffres – c’est certainement plus élevé. C’est pourquoi il nous faut l’école libre (par le chèque scolaire).
POUR UN ROI TRES CHRETIEN
Pendant treize siècles, le plus ancien royaume d’Europe, la France, fut dirigé par un Roi surnommé « très chrétien » . Pourquoi ?
Après le baptême de Clovis par l’archevêque de Reims, Saint Rémi, celui-ci laissa un testament indiquant clairement que la vocation de la France était d’abord de défendre la foi chrétienne ; si elle y répondait par ses actions, elle réussirait toutes ses entreprises, mais si elle montrait de l’hostilité vis-à-vis de l’Eglise, elle serait rudement châtiée. L’histoire de la France n’a fait que confirmer cette prédiction. Notamment, depuis 1789 et ses droits de l’homme sans Dieu, ne voit-on pas les catastrophes se succéder, les guerres devenir de plus en plus meurtrières et les régimes politiques être renversés les uns après les autres? A l’inverse, quand nous avons eu un saint roi comme Louis IX (précédé par plusieurs autres qui, avec moins de qualités, avaient vigoureusement défendu la chrétienté), la France a connu un très grand siècle de prospérité dont nous pouvons encore admirer certains effets, comme nos cathédrales.
Tous nos rois savaient que le vrai Roi de France était le Christ et qu’ils n’étaient que leur lieutenant : Jeanne d’Arc l’a fait acter devant notaire par Charles VII, Louis XIV lui-même l’a proclamé. En conséquence, vis-à-vis de son peuple, le roi avait des pouvoirs d’autorité temporelle et des responsabilités spirituelles ; il ne devait pas prendre des décisions politiques contraires à la morale chrétienne.
Le principal combat des rois a été leur lutte contre les pouvoirs féodaux d’abord puis contre les puissances financières (ex : Louis XIV contre Fouquet). Mais ils n’ont pas su stopper la dérive individualiste de la bourgeoisie influente et d’une partie de l’aristocratie.
POUR L’AVENIR :
La nécessité de tourner le dos à cette société devenue mondialiste qui nous mène aux pires catastrophes devient évidente. En remplacement, il faut :
- un roi , muni de pouvoirs d’autorité puissants, y compris militaires
- des corps intermédiaires représentatifs (familles, métiers, professions, communes)
- des lois imprégnées d’esprit chrétien
L’autorité du roi vient en aide à la faiblesse humaine et va jusqu’à écarter les obstacles à la vie surnaturelle de ses sujets : il est le garant des libertés. Loin des idéologies, il convient de retrouver le réalisme chrétien, c’est-à-dire souder le naturel et le surnaturel, le temporel et l’éternel.
C’est ce qu’on appelle la « monarchie institutionnelle », dans laquelle le roi, par son sacre, détient son pouvoir de Dieu et la constitution lui est soumise, à l’opposé des « monarchies constitutionnelles », dans lesquelles le pouvoir du roi est déterminé par la constitution. Ce sont ces dernières qu’on rencontre en Espagne, en Grande-Bretagne, en Belgique, etc. Mais c’est seulement dans les premières qu’on peut dire que le roi est le lieutenant de Dieu sur terre.
Après le temps de la justice (menaces monétaires, économiques, islamiques, sociales) viendra le temps de la miséricorde et du retour de la France à sa vocation première :
AVOIR UN ROI TRES CHRETIEN
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