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CHRÉTIENS, RÉVEILLEZ-VOUS !

Les ravages provoqués par l’instauration, il y a deux cents ans, d’une société sans Dieu se font sentir tous les jours. Une vingtaine de généraux, une centaine de hauts-gradés et plus d’un millier d’autres militaires ont signé un appel pour un retour de l’honneur et du devoir au sein de la classe politique. Leur cri se résume en quatre mots :
La France se délite
« Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s'affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés ; délitement qui, avec l'islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution ; délitement car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l'ordre comme agent supplétif et bouc émissaire face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs ».
Deux intellectuels, Jérôme Fourquet et Jean-Pierre Le Goff, en donnent des détails dans le Figaro du 27/11/2023. C’est tout d’abord le désinvestissement de beaucoup face au travail : « Au début des années 90, la centralité du travail était encore valide dans les têtes. (…) Aujourd’hui, seulement 21% des Français considèrent que le travail est très important dans leur vie ».
Jean-Pierre Le Goff remarque « le bouleversement du tissu éducatif sur plus d’un demi-siècle (NDR : en gros, depuis mai 1968), pas seulement l’école mais aussi le terreau social et culturel dans lequel l’enfant a été élevé et éduqué, ne lui permet plus de se socialiser et d’acquérir une morale commune ».
De plus en plus de jeunes sont complètement déstructurés
Jérôme Fourquet explique que, avant l’arrivée de la télévision, « des références communes littéraires et livresques ont irrigué toute la société française de la fin du XIXème siècle jusqu’aux années 1950-1960 ». Puis est apparue « une espèce de pop culture apportant de nouvelles références qui se sont de surcroit mondialisées ». Il ajoute que « à la fin des années 90, l’INSEE nous disait que 10% des familles avec enfants étaient des familles monoparentales. On en est aujourd’hui à 25% ». Lors du mouvement des Gilets jaunes, « 60% des jeunes interpellés étaient issus de ce type de famille ».
Jérôme Fourquet ajoute : « Dans cette société du client roi, on ne peut, hélas, pas tout se payer, ce qui génère une frustration immense. (…) Le fait que des expressions comme ‘’le pétage de câble’’ soient omniprésentes n’est pas anodin. (…) Certaines administrations sont soumises au quotidien à cette érosion de la civilité ».
C’est un retour à la sauvagerie et à la barbarie
Seul le retour à une société chrétienne pourrait nous éviter cette dérive dramatique. Encore faut-il que les chrétiens se mobilisent massivement, ce qui n’est pas du tout le cas. Cette passivité tient, à notre avis, à deux raisons.
On trouve la première dans Matt. 22, 34, avec la réponse de Jésus à la question d’un pharisien qui lui demande quels sont les deux plus grands commandements. Jésus dit :
« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit : voilà le plus grand et le premier commandement. Le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. A ces deux commandements se rattache toute la Loi, ainsi que les Prophètes. »
Or, que constatons-nous ? Quasiment toutes les homélies que nous entendons au cours de la messe depuis des années mettent l’accent sur le deuxième commandement et jamais sur le premier. Autrement dit, on se focalise sur Dieu le Fils en occultant Dieu le Père. On n’est pas loin de l’hérésie !
Mais quelle est au juste la différence ou, pour le dire autrement, que signifie « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu » ? Pour répondre à cette question, il faut chercher qui est Dieu le Père. La réponse est principalement dans l’Ancien Testament. Et quelle est, sous cet aspect, la différence entre l’AT et le NT ? Réponse : dans le NT, Dieu le Fils parle à la personne, tandis que dans l’AT, Dieu le Père parle à un peuple. On entre tout de suite dans le champ politique et comme ce sujet est tabou, on comprend la suite…
Contrairement à Jonas, le clergé n’appelle pas à un élan collectif des chrétiens
Venons-en maintenant à la deuxième raison de la passivité d’une majorité de chrétiens. Nous connaissons tous ce verset : « Ce n’est pas en me disant « Seigneur, Seigneur », qu’on entrera dans le Royaume des Cieux, mais c’est en faisant la volonté de mon Père qui est dans les cieux » (Matt. 7, 21)
Jésus laisse en suspends la suite de la phrase, qui est logiquement « Seigneur, Seigneur, viens à notre secours ». Et c’est ainsi que nombre de chrétiens, quand on leur demande ce qu’il faut faire face au drame que vit la France, répondent « il faut prier ». C’est justement ce que condamne Jésus. Non pas qu’il faille abandonner la prière, mais qu’il ne faut pas l’idolâtrer.
En clair, ces chrétiens se donnent bonne conscience en justifiant leur inaction
Alors, que faut-il faire ? Reconstruire la chrétienté. Et, pour cela, il faut organiser dans toutes les paroisses une formation pour que chaque chrétien maîtrise quatre vérités non partisanes (car non liées à une quelconque idéologie) :
1.     Que l’existence de Dieu n’est pas une croyance personnelle mais une certitude démontrable scientifiquement ;
2.     Que la Bible est la Parole de Dieu se démontre rationnellement ;
3.     Qu’il y a incompatibilité entre république et christianisme ;
4.     Que toutes les républiques modernes sont diaboliques car pilotées par la franc-maçonnerie.
Tous unis pour reconstruire la chrétienté

Venez nous rejoindre pour construire la force d’opposition dont la France a besoin
(prtc75@orange.fr)

POUR UN ROI TRES CHRETIEN

Pendant treize siècles, le plus ancien royaume d’Europe, la France, fut dirigé par un Roi surnommé « très chrétien » . Pourquoi ?
Après le baptême de Clovis par l’archevêque de Reims, Saint Rémi, celui-ci laissa un testament indiquant clairement que la vocation de la France était d’abord de défendre la foi chrétienne ; si elle y répondait par ses actions, elle réussirait toutes ses entreprises, mais si elle montrait de l’hostilité vis-à-vis de l’Eglise, elle serait rudement châtiée. L’histoire de la France n’a fait que confirmer cette prédiction. Notamment, depuis 1789 et ses droits de l’homme sans Dieu, ne voit-on pas les catastrophes se succéder, les guerres devenir de plus en plus meurtrières et les régimes politiques être renversés les uns après les autres? A l’inverse, quand nous avons eu un saint roi comme Louis IX (précédé par plusieurs autres qui, avec moins de qualités, avaient vigoureusement défendu la chrétienté), la France a connu un très grand siècle de prospérité dont nous pouvons encore admirer certains effets, comme nos cathédrales.
Tous nos rois savaient que le vrai Roi de France était le Christ et qu’ils n’étaient que leur lieutenant : Jeanne d’Arc l’a fait acter devant notaire par Charles VII, Louis XIV lui-même l’a proclamé. En conséquence, vis-à-vis de son peuple, le roi avait des pouvoirs d’autorité temporelle et des responsabilités spirituelles ; il ne devait pas prendre des décisions politiques contraires à la morale chrétienne.
Le principal combat des rois a été leur lutte contre les pouvoirs féodaux d’abord puis contre les puissances financières (ex : Louis XIV contre Fouquet). Mais ils n’ont pas su stopper la dérive individualiste de la bourgeoisie influente et d’une partie de l’aristocratie.
POUR L’AVENIR :
La nécessité de tourner le dos à cette société devenue mondialiste qui nous mène aux pires catastrophes devient évidente. En remplacement, il faut :
-       un roi , muni de pouvoirs d’autorité puissants, y compris militaires
-       des corps intermédiaires représentatifs (familles, métiers, professions, communes)
-        des lois imprégnées d’esprit chrétien
L’autorité du roi vient en aide à la faiblesse humaine et va jusqu’à écarter les obstacles à la vie surnaturelle de ses sujets : il est le garant des libertés. Loin des idéologies, il convient de retrouver le réalisme chrétien, c’est-à-dire souder le naturel et le surnaturel, le temporel et l’éternel.
C’est ce qu’on appelle la « monarchie institutionnelle », dans laquelle le roi, par son sacre, détient son pouvoir de Dieu et la constitution lui est soumise, à l’opposé des « monarchies constitutionnelles », dans lesquelles le pouvoir du roi est déterminé par la constitution. Ce sont ces dernières qu’on rencontre en Espagne, en Grande-Bretagne, en Belgique, etc. Mais c’est seulement dans les premières qu’on peut dire que le roi est le lieutenant de Dieu sur terre.
Après le temps de la justice (menaces monétaires, économiques, islamiques, sociales) viendra le temps de la miséricorde et du retour de la France à sa vocation première :

AVOIR UN ROI TRES CHRETIEN

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Vincent Reynouard...

Non au scandale d'une incarcération niant la liberté d'expression !

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La croissance, dont on veut nous persuader qu'elle est vitale, n'est-elle pas évoquée pour cacher la réalité : un écart grandissant d'année en année entre riches et pauvres ?
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Pélerinage à PONTMAIN

Venez prier pour le retour du roi
le 17 de chaque mois
Renseignements :
chouandecoeur@orange.fr
Mob. 06 07 50 26 58