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LE SYNDROME DU CYCLOPE
Le plus simple est de se pencher sur les deux plus grands commandements explicités par Jésus. A la demande d’un pharisien, Jésus répond : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit : voilà le plus grand et le premier commandement. Le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. A ces deux commandements se rattache toute la Loi, ainsi que les Prophètes. » (Matt. 22, 36-40)
Ce n’est pas par hasard que Jésus en cite deux, et pas un. Or, bien souvent, on oublie le premier et on ne retient que le second, qui se résume parfois à un appel à la charité, aux actions humanitaires. Ou, tout simplement, en faisant appel à changer son comportement personnel. C’est comme si on oubliait le Père en ne s’intéressant qu’au Fils.
C’est très bien, mais pourquoi oublier l’Ancien Testament ? Parce que « s’adresser à un peuple », c’est faire de la politique. Prenons l’exemple de Jonas : il rencontre le roi de la ville de Ninive en lui demandant, à lui et à son peuple, de se repentir, autrement dit, pour employer un langage moderne, de changer de politique. Sans doute, la raison en est que les prêtres ont trop peur d’être accusés de parler de politique.
C’est pourquoi on doit parler d’hérésie : il y a une double dérive : on oublie le Père pour mettre en valeur le Fils, et on oublie le Fils pour mettre en valeur la charité.
Le danger est grand de tomber dans le matérialisme. En effet, la Déclaration des Droits de l’homme et du Citoyen de 1789, qui est le fondement de nos républiques modernes, énonce à l’article 4 : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ». C’est donc la promotion de l’individualisme. Or cette insistance à se focaliser sur Dieu le Fils peut aussi favoriser l’individualisme, puisque c’est un appel à se changer, soi.
Il faut donc que les Français retrouvent les racines chrétiennes qui contribuèrent à la gloire de la France. L’un des outils instrumentalisé par la franc-maçonnerie est l’école, excellent moyen de formater les esprits. Cela passe notamment par la destruction quasi complète de la formation à l’histoire de France, dans le but de faire oublier aux Français leur identité.
Voici quelques « oublis ». Dans les programmes d’histoire du second cycle, tout l’ancien régime est occulté. Ainsi les élèves n’auront jamais entendu parler de Clovis, de Charlemagne, de Saint Louis, de Jeanne d’Arc, d’Henri IV, de Louis XIII, du cardinal Richelieu, de Louis XIV, de Louis XV, de Louis XVI, et guère plus de Napoléon-Bonaparte et de Napoléon III.
Voici ce que nous proposons. Que des groupes se forment dans chaque paroisse pour demander au maire de la commune d’organiser des cours d’histoire de France pour adultes, en s’appuyant sur les racines chrétiennes de la France.
POUR UN ROI TRES CHRETIEN
Pendant treize siècles, le plus ancien royaume d’Europe, la France, fut dirigé par un Roi surnommé « très chrétien » . Pourquoi ?
Après le baptême de Clovis par l’archevêque de Reims, Saint Rémi, celui-ci laissa un testament indiquant clairement que la vocation de la France était d’abord de défendre la foi chrétienne ; si elle y répondait par ses actions, elle réussirait toutes ses entreprises, mais si elle montrait de l’hostilité vis-à-vis de l’Eglise, elle serait rudement châtiée. L’histoire de la France n’a fait que confirmer cette prédiction. Notamment, depuis 1789 et ses droits de l’homme sans Dieu, ne voit-on pas les catastrophes se succéder, les guerres devenir de plus en plus meurtrières et les régimes politiques être renversés les uns après les autres? A l’inverse, quand nous avons eu un saint roi comme Louis IX (précédé par plusieurs autres qui, avec moins de qualités, avaient vigoureusement défendu la chrétienté), la France a connu un très grand siècle de prospérité dont nous pouvons encore admirer certains effets, comme nos cathédrales.
Tous nos rois savaient que le vrai Roi de France était le Christ et qu’ils n’étaient que leur lieutenant : Jeanne d’Arc l’a fait acter devant notaire par Charles VII, Louis XIV lui-même l’a proclamé. En conséquence, vis-à-vis de son peuple, le roi avait des pouvoirs d’autorité temporelle et des responsabilités spirituelles ; il ne devait pas prendre des décisions politiques contraires à la morale chrétienne.
Le principal combat des rois a été leur lutte contre les pouvoirs féodaux d’abord puis contre les puissances financières (ex : Louis XIV contre Fouquet). Mais ils n’ont pas su stopper la dérive individualiste de la bourgeoisie influente et d’une partie de l’aristocratie.
POUR L’AVENIR :
La nécessité de tourner le dos à cette société devenue mondialiste qui nous mène aux pires catastrophes devient évidente. En remplacement, il faut :
- un roi , muni de pouvoirs d’autorité puissants, y compris militaires
- des corps intermédiaires représentatifs (familles, métiers, professions, communes)
- des lois imprégnées d’esprit chrétien
L’autorité du roi vient en aide à la faiblesse humaine et va jusqu’à écarter les obstacles à la vie surnaturelle de ses sujets : il est le garant des libertés. Loin des idéologies, il convient de retrouver le réalisme chrétien, c’est-à-dire souder le naturel et le surnaturel, le temporel et l’éternel.
C’est ce qu’on appelle la « monarchie institutionnelle », dans laquelle le roi, par son sacre, détient son pouvoir de Dieu et la constitution lui est soumise, à l’opposé des « monarchies constitutionnelles », dans lesquelles le pouvoir du roi est déterminé par la constitution. Ce sont ces dernières qu’on rencontre en Espagne, en Grande-Bretagne, en Belgique, etc. Mais c’est seulement dans les premières qu’on peut dire que le roi est le lieutenant de Dieu sur terre.
Après le temps de la justice (menaces monétaires, économiques, islamiques, sociales) viendra le temps de la miséricorde et du retour de la France à sa vocation première :
AVOIR UN ROI TRES CHRETIEN
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