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A PROPOS DU SOUVERAINISME
Il y a une première raison à cela. Un sondage récent demandait aux Français pour quelle cause jugeraient-ils impératif de se mobiliser. 30% ont répondu : si ma patrie est attaquée. C’est bien mais, à y regarder de près, ce n’est pas beaucoup. Le même sondage fait apparaître que 30 à 50% d’entre eux jugent impératif de se mobiliser seulement si on touche à leur petit confort. C’est donc que l’hédonisme est le premier ennemi du souverainisme. Et le combattre ne peut être efficace que si l’on utilise la voie spirituelle. Laissons de côté cette remarque pour aujourd’hui.
D’ailleurs, les souverainistes pourraient objecter qu’ils n’ont rien contre l’hédonisme puisque leur projet économique vise à améliorer la situation économique de la France, donc les conditions de vie, notamment en rejetant l’euro,
Mais il y a une deuxième raison qui explique pourquoi le souverainisme ne progresse pas. Voyons le volet culturel : le souverainisme peut s’exprimer par des politiques linguistiques fortes, la défense d’un modèle culturel ou républicain ou encore par la réticence face à des influences culturelles perçues comme dominantes. Donc pas de référentiel moral qui est la condition première pour assurer une cohésion sociale au sein de la population.
Les crypto-républicains répondront : « mais si, il y a la laïcité ». Sauf que les islamistes ne respectent pas la laïcité et, pire, plus de 50% des jeunes musulmans ne respectent pas la France.
La seule solution est de revenir aux racines chrétiennes de la France, qui doivent être inscrites dans la constitution.
Voici donc, selon nous, les sept points sur lesquels devraient s’appuyer les souverainistes :
la souveraineté monétaire,
la protection de notre agriculture et de notre industrie,
un système de représentation basé sur la reconnaissance des corps intermédiaires,
le respect de la vie depuis la conception jusqu’à la mort,
la liberté de l’information,
un code de nationalité basé sur le droit du sang,
l’inscription dans la constitution de la référence aux racines chrétiennes de la France.
POUR UN ROI TRES CHRETIEN
Pendant treize siècles, le plus ancien royaume d’Europe, la France, fut dirigé par un Roi surnommé « très chrétien » . Pourquoi ?
Après le baptême de Clovis par l’archevêque de Reims, Saint Rémi, celui-ci laissa un testament indiquant clairement que la vocation de la France était d’abord de défendre la foi chrétienne ; si elle y répondait par ses actions, elle réussirait toutes ses entreprises, mais si elle montrait de l’hostilité vis-à-vis de l’Eglise, elle serait rudement châtiée. L’histoire de la France n’a fait que confirmer cette prédiction. Notamment, depuis 1789 et ses droits de l’homme sans Dieu, ne voit-on pas les catastrophes se succéder, les guerres devenir de plus en plus meurtrières et les régimes politiques être renversés les uns après les autres? A l’inverse, quand nous avons eu un saint roi comme Louis IX (précédé par plusieurs autres qui, avec moins de qualités, avaient vigoureusement défendu la chrétienté), la France a connu un très grand siècle de prospérité dont nous pouvons encore admirer certains effets, comme nos cathédrales.
Tous nos rois savaient que le vrai Roi de France était le Christ et qu’ils n’étaient que leur lieutenant : Jeanne d’Arc l’a fait acter devant notaire par Charles VII, Louis XIV lui-même l’a proclamé. En conséquence, vis-à-vis de son peuple, le roi avait des pouvoirs d’autorité temporelle et des responsabilités spirituelles ; il ne devait pas prendre des décisions politiques contraires à la morale chrétienne.
Le principal combat des rois a été leur lutte contre les pouvoirs féodaux d’abord puis contre les puissances financières (ex : Louis XIV contre Fouquet). Mais ils n’ont pas su stopper la dérive individualiste de la bourgeoisie influente et d’une partie de l’aristocratie.
POUR L’AVENIR :
La nécessité de tourner le dos à cette société devenue mondialiste qui nous mène aux pires catastrophes devient évidente. En remplacement, il faut :
- un roi , muni de pouvoirs d’autorité puissants, y compris militaires
- des corps intermédiaires représentatifs (familles, métiers, professions, communes)
- des lois imprégnées d’esprit chrétien
L’autorité du roi vient en aide à la faiblesse humaine et va jusqu’à écarter les obstacles à la vie surnaturelle de ses sujets : il est le garant des libertés. Loin des idéologies, il convient de retrouver le réalisme chrétien, c’est-à-dire souder le naturel et le surnaturel, le temporel et l’éternel.
C’est ce qu’on appelle la « monarchie institutionnelle », dans laquelle le roi, par son sacre, détient son pouvoir de Dieu et la constitution lui est soumise, à l’opposé des « monarchies constitutionnelles », dans lesquelles le pouvoir du roi est déterminé par la constitution. Ce sont ces dernières qu’on rencontre en Espagne, en Grande-Bretagne, en Belgique, etc. Mais c’est seulement dans les premières qu’on peut dire que le roi est le lieutenant de Dieu sur terre.
Après le temps de la justice (menaces monétaires, économiques, islamiques, sociales) viendra le temps de la miséricorde et du retour de la France à sa vocation première :
AVOIR UN ROI TRES CHRETIEN
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