LREM, le parti de l'étranger

Emmanuel Macron a jugé bon de confirmer la déclaration de Chirac, affirmant que la France était responsable de la rafle du Vel’ d’hiv en juillet 1942. Qu’en est-il exactement ? Qui a tort et qui a raison ?
Certes le « politiquement correct » justifiant cette position, cela nous met la puce à l’oreille. Tout d’abord, comme le fait remarquer Paul Thibaud dans le Figaro du 19 juillet, « la formule ‘’La France responsable’’ n’est employée que dans le cadre de notre histoire contemporaine. Personne ne dit que ‘’la France’’ est responsable de la révocation de l’Edit de Nantes, on l’attribue au roi ».
Donc, à première vue, il serait déjà plus proche de la vérité de dire « le gouvernement de Vichy est responsable ». Mais ceci conduit à une double contradiction. Tout d’abord, cela laisse entendre que le gouvernement de Vichy était le gouvernement de la France, alors que De Gaulle disait le contraire. Or il est de bon ton actuellement de donner raison au général De Gaulle plutôt qu’à Vichy. Deuxième incohérence : certes, c’est le gouvernement de Vichy qui a donné l’ordre, mais il était dirigé par Laval, l’homme que les Allemands ont imposé au maréchal Pétain en remplacement de Darlan.
Comment peut-on tenir le gouvernement français de responsable, alors que la France était occupée ? C’est d’une grande malhonnêteté intellectuelle.
La question qui se pose alors est de savoir pourquoi le président de la république française s’est prêté à ce jeu ignoble. Pour y répondre, ill suffit de se poser une autre question : à qui profite le crime ? La réponse est évidente : à Israël. Emmanuel Macron a donc ainsi montré au monde entier sa soumission à Israël. Il ne fait en cela que poursuivre la politique précédemment menée par Sarkozy, qui a fait assassiner Kadhafi, et par Hollande, qui a refusé de livrer les navires Mistral à la Russie, afin de se conformer à la politique de sanctions décidées par les Etats-Unis, lesquels défendaient de cette manière les intérêts d’Israël.
Même si cela paraît moins évident, l’épisode récent de la démission du général Pierre de Villiers à la suite de la décision de Macron de réduire les dépenses publiques de dix milliards d’euros, démontre, là encore, la volonté cachée d’affaiblir la France. Les 850 millions demandés à la défense nationale auraient très bien pu être répartis sur les autres ministères : cela aurait représenté un surplus de 8,5%.
Pour beaucoup de Français, cela peut apparaître comme une querelle secondaire. Ce n’est pas le cas. Non seulement parce que la situation matérielle de l’armée est désastreuse – seuls 30% des véhicules sont en état de circuler, les autres étant en maintenance, et on n’a pas l’argent pour acheter les pièces détachées nécessaires – mais encore parce que nous sommes sous la menace d’une insurrection armée conduite par les islamistes. Il suffit d’une étincelle, ce qui peut se produire à tout instant, pour que la communauté musulmane s’embrase. Et c’est alors entre un et trois millions de musulmans qui descendent dans la rue et se mettent à tout piller. L’armée française aura-t-elle les moyens de réagir ? Rien n’est moins sûr.
Citons encore l’inclusion de la France dans la zone euro, ce qui a pour conséquence directe de provoquer un déficit chronique de la balance commerciale. Les partis européistes qui soutiennent le fait que la France se trouve privée de sa souveraineté en matière de politique monétaire défendent des intérêts qui ne sont pas ceux de la France.
En conclusion, la France est gouvernée par des hommes qui sont au service de l’étranger. Ils ne défendent pas leur pays mais gèrent simplement leur carrière politique. Cela s’appelle la corruption.

Une seule solution : le retour du roi

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